Sans service de gardiennage, votre assurance peut tout simplement refuser de vous indemniser.

Cette semaine, le blog 𝟴𝟯-𝟲𝟮𝟵 révélait un jugement marquant : un assureur a refusé d’indemniser un sinistre… 𝗳𝗮𝘂𝘁𝗲 𝗱𝗲 𝗴𝗮𝗿𝗱𝗶𝗲𝗻𝗻𝗮𝗴𝗲 𝗲𝘁 𝗱’𝗮𝗹𝗮𝗿𝗺𝗲 𝘀𝘂𝗿 𝘀𝗶𝘁𝗲.
Un bâtiment en rénovation, vide de toute activité, et sans surveillance. Résultat : vandalisme non couvert, aucune indemnité, 1 800 € de frais de justice à la charge du propriétaire. Pourquoi ? Parce qu’une clause du contrat stipulait clairement : « 𝗦𝗮𝗻𝘀 𝘁𝗲́𝗹𝗲́𝘀𝘂𝗿𝘃𝗲𝗶𝗹𝗹𝗮𝗻𝗰𝗲 𝗲𝘁/𝗼𝘂 𝗴𝗮𝗿𝗱𝗶𝗲𝗻𝗻𝗮𝗴𝗲 𝗽𝗲𝗿𝗺𝗮𝗻𝗲𝗻𝘁, 𝗮𝘂𝗰𝘂𝗻 𝗮𝗰𝘁𝗲 𝗱𝗲 𝘃𝗮𝗻𝗱𝗮𝗹𝗶𝘀𝗺𝗲 𝗻’𝗲𝘀𝘁 𝗴𝗮𝗿𝗮𝗻𝘁𝗶. »
Le tribunal a été formel :
- Pas d’ambiguïté.
- Pas d’interprétation.
- Pas d’indemnisation.
𝗖𝗲 𝗾𝘂𝗲 𝗰𝗲𝗹𝗮 𝗿𝗲́𝘃𝗲̀𝗹𝗲 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝗽𝗿𝗼𝗳𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻𝗻𝗲𝗹𝘀 :
- Les 𝗹𝗼𝗰𝗮𝘂𝘅 𝗶𝗻𝗼𝗰𝗰𝘂𝗽𝗲́𝘀 ou en travaux sont désormais exposés à des clauses de sécurité très strictes.
- Le recours à la 𝘀𝗲́𝗰𝘂𝗿𝗶𝘁𝗲́ 𝗽𝗿𝗶𝘃𝗲́𝗲 devient, de fait, une 𝗰𝗼𝗻𝗱𝗶𝘁𝗶𝗼𝗻 𝘁𝗮𝗰𝗶𝘁𝗲 𝗱𝗲 𝗰𝗼𝘂𝘃𝗲𝗿𝘁𝘂𝗿𝗲 𝗮𝘀𝘀𝘂𝗿𝗮𝗻𝘁𝗶𝗲𝗹𝗹𝗲.
- Les 𝗽𝗿𝗲𝘀𝘁𝗮𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝘀𝘂̂𝗿𝗲𝘁𝗲́ ne sont plus de simples fournisseurs : ils deviennent des 𝗮𝗰𝘁𝗲𝘂𝗿𝘀 𝘀𝘁𝗿𝗮𝘁𝗲́𝗴𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 de la gestion du risque immobilier.
hez SYRTIS MAJOR | Security & Defense, nous observons cette évolution depuis plusieurs mois.
Nous accompagnons les entreprises et collectivités à intégrer la sécurité en amont, avant que le sinistre ne survienne… et que l’assureur ne se désengage.
Une question sur la sécurisation temporaire d’un site vide, ou en transition ? Nos équipes sont mobilisées.
Retrouver cette actualité sur : Linkedin Syrtis Major